mardi 12 septembre 2017



INTOLÉRANCE AU GLUTEN

Le gluten est une protéine que l’on trouve dans certaines céréales comme le blé, le seigle, l’orge et l’avoine. L’intolérance au gluten ou maladie cœliaque provoque des troubles digestifs et des lésions à l’intestin grêle. Elle entraîne aussi une mauvaise assimilation du calcium, fer et vitamine B et donc de possibles carences. C’est une maladie assez courante qui toucherait plus de 150 000 Français.

Quels sont les symptômes de l’intolérance au gluten ?
Parfois l’intolérance au gluten n’induit pas de symptômes mais en général on peut observer :
- diarrhée
- ballonnements
- vomissement
- amaigrissement
- douleurs au ventre
- perte d’appétit
- fatigue
- pâleur
- aphtes dans la bouche
- douleurs aux articulations
- arrêt de la croissance chez l'enfant




Comment diagnostique-t-on l’intolérance au gluten ?
L’intolérance au gluten ne présentant parfois pas de symptôme, pour réaliser le diagnostic il faut pratiquer plusieurs examens médicaux.
Le médecin procède tout d’abord à un examen sanguin.
Il réalise ensuite une biopsie de l’intestin grêle à l’aide d’un petit tube muni d’une pince et introduit dans le corps par les voies naturelles (endoscopie) afin de repérer d’éventuelles lésions, signes d’une intolérance au gluten.

Quelles sont les personnes à risque ?
- Les jeunes enfants, les femmes de 40-50 ans et les hommes de 50-60 ans
- Les personnes dont un membre de leur famille souffre d’intolérance au gluten

Comment prévenir l’intolérance au gluten ?
Nourrir les bébés au sein et ne pas leur donner de céréales ou de produits en contenant avant 4 mois permettraient de réduire les risques qu’ils développent une intolérance au gluten.

Quels sont les traitements de l’intolérance au gluten ?
Non traitée l’intolérance en gluten peut entraîner des complications : syndrome de l’intestin irritable, cirrhose (La cirrhose est une maladie caractérisée par un remplacement progressif des tissus sains du foie par des nodules et du tissu fibreux (fibrose) qui altèrent peu à peu la fonction hépatique. C'est une maladie grave et évolutive) 

L’intolérance au gluten est permanente. Dès qu’elle est diagnostiquée, il convient de suivre un régime sans gluten. Une diététicienne peut vous aider à élaborer vos recettes sans gluten. Il faut éviter tous les produits qui contiennent des céréales de blé, seigle, orge, avoine, froment à savoir les pâtes, le pain, certains yaourts…. mais aussi se méfier des plats tout préparés ou de certains médicaments qui contiennent parfois du gluten comme additif.
En grandes surfaces et magasins spécialisées, de plus en plus de produits sont étiquetés sans gluten.

 Lydie Alexandre

mercredi 29 mars 2017

l'endométriose est caractérisée par une présence de fragments d'endomètre anormale. En général, quand l'ovule n'est pas fécondé, l'endomètre est éliminé pendant les règles et renouvelé par la suite, mais quand ce tissu poursuit son développement hors de l'utérus, il ne peut alors pas être évacué. Les localisations les plus fréquente de l'endométriose sont les ovaires avec la formation de kystes, les trompes, le péritoine, les zones situées entre la vessie, l'utérus et le vagin et celles situées entre le vagin et le rectum.

Il existe différents types d’endométriose :
Endométriose digestive
Endométriose pulmonaire
Endométriose vésicale
Endométriose profonde

Causes
L'endométriose se caractérise par la présence anormale de fragments d'endomètre, à l'extérieur de l'utérus. L'endomètre correspond au tissu qui tapisse la cavité utérine. Lorsque ce tissu se développe à l'extérieur de l'utérus, il ne peut pas être évacué et provoque alors les manifestations de la maladie.


Facteurs de risque 

De nombreux facteurs de risque peuvent favoriser l'apparition d'une endométriose. L'endométriose est une pathologie touchant les femmes en âge de procréer. Les femmes les plus concernées sont celles âgées de 30 à 50 ans. Les adolescentes peuvent également être concernées par une endométriose. Des femmes peuvent présenter beaucoup plus rarement une endométriose après la ménopause.

Une prédisposition familiale au premier degré peut représenter un facteur de risque. La présence de douleurs pelviennes chez une femme dont la mère présente une endométriose doit alerter.

L'exposition in utero au distilbène représente un autre facteur de risque. Les règles précoces, abondantes, douloureuses, ainsi que des cycles courts peuvent représenter des facteurs de risque. L'association hypofertilité endométriose est fréquente. Le tabagisme représente un autre facteur de risque de l'endométriose.
Les antécédents gynécologiques tels que malformations obstructives congénitales, curetages utérins, électrocoagulation du col ou recours à un stérilet peuvent représenter un facteur de risque.


Symptômes
Elle se caractérise par la présence de segments d'endomètre (ou muqueuse utérine) qui viennent se greffer en dehors de l'utérus, sur des organes génitaux comme le corps de l'utérus ou les ovaires, mais également non génitaux comme le péritoine, membrane tapissant la paroi abdominale ou le rectum. Affection dont l'origine n'est à l'heure actuelle inexpliquée, elle touche surtout les femmes jeunes jusqu'à 35 ans. L'endomètre étant sous influence des hormones du cycle sexuel, l'endométriose sera également soumis à ces changements, ce qui explique une partie des symptômes. Les symptômes d'une endométriose varient en intensité d'une femme à l'autre. Le délai entre le début des manifestations de l'endométriose et son diagnostic est de plusieurs années.

Parmi les signes cliniques de l'endométriose, les douleurs abdominales basses et des saignements d'origine génitaux sont fréquents. L'infertilité est une complication fréquente et des douleurs lors des rapports sexuels sont souvent rapportées. Dans le cas de l'endométriose légère, les fragments se fixent sur l'utérus, les ovaires, les trompes de Fallope. Dans une forme plus sévère, des kystes (endométriomes) se forment dans la cavité utérine ou sur l'ovaire et des adhérences accolent les organes. La maladie disparaît de façon spontanée après la ménopause.

Certaines femmes ne présentent aucune manifestation et l'endométriose est découverte fortuitement au cours d'un bilan d'infertilité. Aucune des manifestations douloureuse n'est spécifique à l'endométriose. Les douleurs pelviennes chronique sont localisées au niveau du bas ventre et peuvent toucher également la jambe ou le bas du dos. La présence de douleurs pelviennes sévères et persistante depuis plusieurs semaines ou mois peut évoquer la présence d'une endométriose. Une perte de connaissance peut être constatée en cas de forte douleur.
Une endométriose provoque des douleurs importantes pendant les règles qui peuvent être hémorragiques. La présence de douleurs précédant les règles s'observe également (dysménorrhée). Ces manifestations correspondent à la dysménorrhée.
La présence de rapports sexuels douloureux (dyspareunie) est une autre caractéristique, non spécifique, de l'endométriose.
Les troubles digestifs et urinaires associés à l'endométriose sont notamment une diarrhée ou une constipation, des douleurs lors de la défécation, des rectorragies, des douleurs ou brûlures lors de la miction, des difficultés à vider la vessie ou encore une hématurie.

Des épisodes de fatigue chronique est une manifestation fréquente de l'endométriose. Cette fatigue peut être aggravée par les traitements.
L'endométriose peut provoquer une infertilité. La présence de pertes brunâtres à la fin de règles ou après un rapport sexuel, la survenue de nausées, de vomissements, de vertiges et parfois de douleurs pulmonaire ou thoraciques survenant au cours des règles et situées droite ou d'une toux peuvent s'observer également.
Diagnostic
Le diagnostic de l'endométriose repose sur un examen gynécologique approfondi ; une échographie dont le but est de déceler les endométriomes, parfois, une IRM (imagerie par résonance magnétique), une laparoscopie ou coelioscopie qui consiste à examiner la cavité abdominale à l'aide d'un endoscope. La laparoscopie ou la coelioscopie présentent deux avantages considérables : l'identification formelle de l'endométriose et la possibilité d'éliminer les foyers d'endométriose au cours de l'exploration.
Traitement
Le traitement de l’endométriose est indiqué aux femmes sans enfant ou ayant des problèmes de fertilité, et en cas de douleurs importantes. L’abstention de traitement est préconisée chez les jeunes femmes (moins de 35 ans), chez qui l’endométriose est minime et sans effet sur les trompes ni les ovaires. 

Même si aucun traitement n’est prescrit, un suivi médical régulier reste nécessaire. Le traitement de l'endométriose a pour principal but de diminuer ce tissu indésirable. Compte tenu de l'influence hormonale, des médicaments ayant des effets contraires à la prolifération de ces tissus sont prescrits. La cœlioscopie ou laparoscopie qui fait le diagnostic a également comme intérêt de permettre une intervention en enlevant un éventuel endométriome ou les adhérences entre organes.

Complications
Le risque de fertilité est une des complications majeures de la maladie : en effet l'endométriose peut perturber la fertilité de la femme atteinte car les tissus présents en excédent dans la maladie empêchent entre autre le bon fonctionnement des ovaires. Un pourcentage non négligeable de femmes éprouvant des difficultés à mener une grossesse est atteinte d'une endométriose.

Les douleurs provoquées par l'endométriose peuvent empêcher ou diminuer les relations sexuelles. D'autre part, le tissu utérin déplacé peut perturber la nidation de l'ovule fécondé ou former des empêcher la fécondation de se faire en raison de la présence d'un kyste. La présence d'adhérences peut empêcher la libération de l'ovule ou en entraver son passage vers l'utérus. 

Le diagnostic de l'endométriose s'effectue très fréquemment lors d'un bilan de fertilité.
Les atteintes urinaires peuvent entraîner la présence de sang
dans les urines ou des épisodes de colique néphrétique pouvant représenter une urgence.

Les atteintes rectales ou intestinales peuvent provoquer des rectorragies, des épisodes de constipations rebelles. Des épisodes d’occlusions intestinales et de péritonite peuvent survenir dans de rares cas.

Une rupture d'un kyste peut être à l'origine de violentes douleurs peut nécessiter un avis médical en urgence.

mercredi 8 mars 2017

L’infection à Chlamydia est l’infection transmissible sexuellement (ITS) d’origine bactérienne qui est signalée le plus souvent en Amérique du Nord. Elle touche à la fois les hommes et les femmes, bien que les femmes la signalent plus souvent que les hommes.

Cette infection est nommée d'après la bactérie pathogène Chlamydia trachomatis. La plupart des femmes et de nombreux hommes infectés par cette bactérie n'affichent aucun symptôme et ignorent donc qu'ils ont la chlamydia.

La chlamydia est facile à traiter, mais peut parfois entraîner des complications graves si elle n'est pas décelée assez précocement. Ainsi, l'on estime que 40 % des femmes non traitées développeront une maladie inflammatoire pelvienne (MIP) qui peut être très douloureuse. Omettre de traiter l'infection à chlamydia fait augmenter le risque d'infertilité, d'accouchement prématuré et d'une grossesse ectopique.

Causes
La chlamydia est très contagieuse et se transmet lors des rapports sexuels. Elle peut être transmise par le biais de relations vaginales, anales ou orales.
Le nouveau-né peut être infecté si la mère a la chlamydia. Près des deux tiers des enfants nés par accouchement vaginal (et non par césarienne) d'une mère infectée contractent la chlamydia pendant l'accouchement. Chez les nouveau-nés, les infections à chlamydia prennent la forme de troubles oculaires ou respiratoires au lieu des infections génitales typiquement constatées chez les adultes.

Symptômes et Complications

Les personnes atteintes de chlamydia n'ont pas toujours des symptômes : environ 80 % des femmes et 50 % des hommes ne présentent aucun signe d'infection. Si des symptômes apparaissent, ils se manifesteront une à trois semaines après l'exposition à l'agent infectieux.
Chez l'homme, la chlamydia débute généralement dans l'urètre. Les symptômes sont souvent intermittents ou peuvent n'être constatés qu'à l'occasion de la première urine de la journée. Parmi ceux-ci on retrouve :

une douleur dans le scrotum;
des écoulements provenant du pénis, généralement blanchâtres ou jaunâtres.
une inflammation de l’épididyme ‒ un petit conduit enroulé sur la partie arrière des testicules et servant à emmagasiner et à transporter le sperme ‒ appelée épididymite;
la prostatite, une inflammation de la prostate
une rougeur, un gonflement, une sensation de brûlure et des démangeaisons autour de l'ouverture du pénis;
une sensation douloureuse de brûlure au moment d'uriner;
la stérilité, si l'infection passe de l'urètre aux testicules;
le syndrome de Reiter, un trouble qui ressemble à l'arthrite et qui peut endommager les articulations et les yeux.

La chlamydia peut provoquer plusieurs complications, tant chez l'homme que la femme, notamment :

la conjonctivite;
la lymphogranulomatose génitale qui provoque des ulcères génitaux et une enflure des ganglions;
la pharyngite (un mal de gorge);
le syndrome de Reiter, un type d’arthrite réactionnelle.
Chez la femme, la chlamydia débute généralement dans le col de l'utérus. Bien que les symptômes soient rares chez la femme, ils comprennent :
des écoulements vaginaux jaunâtres pouvant avoir mauvaise odeur;
une sensation douloureuse de brûlure au moment d'uriner;
des saignements entre les menstruations et après les rapports sexuels;
des douleurs pendant les rapports sexuels;
une douleur abdominale basse.

La femme peut aussi souffrir de diverses complications sérieuses à la suite d'une infection par la chlamydia. Si l'affection n'est pas traitée, elle peut provoquer :

une inflammation du foie qui provoque une douleur au côté droit;
une salpingite aiguë : une affection grave qui peut endommager de façon permanente les trompes de Fallope, l'utérus et les ovaires (ce qui peut provoquer l'infertilité et des douleurs chroniques);

le syndrome de Reiter, un type d’arthrite réactionnelle.
Tant chez l'homme que chez la femme, la chlamydia peut infecter le rectum et provoquer les symptômes suivants :

des démangeaisons et hémorragies rectales;
une douleur au moment de déféquer;
des écoulements semblables à du mucus.

Si les yeux sont infectés par la chlamydia (conjonctivite), les symptômes sont les suivants :

une rougeur, des démangeaisons et un écoulement des yeux;
une enflure des paupières.
Des infections oculaires surviennent chez environ 20 à 50 % des bébés nés de mères infectées et l'infection se produit généralement dans les deux semaines suivant l'accouchement. 

Si l'infection n'est pas traitée à temps, elle peut entraîner une cicatrisation de la cornée et des troubles permanents de la vue. Environ 5 à 30 % des bébés nés de mères infectées contracteront une pneumonie, généralement de 2 à 12 semaines après l'accouchement. Les symptômes provoqués par la pneumonie à chlamydia peuvent être légers ou plus sérieux comme certains troubles respiratoires, une toux persistante, par exemple.

Diagnostic
Le médecin peut se servir d'un coton-tige afin de prélever des échantillons bactériens dans le col de l'utérus, le rectum ou l'urètre. Il peut également prélever un échantillon de la première urine du matin. Ces échantillons peuvent être transmis à un laboratoire afin d'établir la présence d'une chlamydia.

Comme l'infection peut être asymptomatique, les partenaires sexuels peuvent également être infectés et doivent également consulter le médecin pour être testés.

Traitement et Prévention

La chlamydia peut être guérie facilement et rapidement, souvent avec un seul comprimé. Bien qu'elle soit facile à traiter, d'année en année des milliers de personnes souffrent de complications graves, comme l'infertilité et des douleurs chroniques, parce qu'elles n'affichaient aucun symptôme ou qu'elles n'ont pas su les reconnaître. N'attendez pas l'apparition d'un ou plusieurs symptômes. 
Faites-vous examiner régulièrement. Le risque d'infection par la chlamydia augmente avec le nombre de partenaires sexuels.

Comme l'infection par chlamydia peut survenir sans aucun symptôme, il est possible de la transmettre à son insu à d'autres personnes ou d'être contaminé par une personne qui ignore en être atteinte. Les femmes sont plus susceptibles d'ignorer qu'elles en sont atteintes. 

L'utilisation de condoms contribue à réduire les risques de transmission. Un condom doit être utilisé du début à la fin des rapports sexuels.
Chez les hommes, les femmes et les bébés, la chlamydia se traite à l'aide de divers antibiotiques. Le traitement choisi dépend du patient et de la gravité de l'infection.

Même si les symptômes ne sont pas évidents ou disparaissent rapidement, il importe de prendre tous les antibiotiques prescrits pendant toute la durée recommandée. 
Si les symptômes ne disparaissent pas une ou deux semaines après la fin du traitement, consultez à nouveau le médecin. 

Même si vous vous sentez bien, il se peut que, dans les trois à quatre semaines suivant la fin du traitement, le médecin désire vous réexaminer afin de s'assurer que l'infection a disparu.


Évitez les relations sexuelles durant le traitement et au moins une semaine après qu'il soit terminé.

samedi 4 février 2017

Bien Etre: Antiseptique,anti-inflammatoire, calmant... Derriè...

Bien Etre: Antiseptique,anti-inflammatoire, calmant... Derriè...: Antiseptique, anti-inflammatoire, calmant... Derrière son odeur et aspect particulier, le clou de girofle permet de soulager de nombreux ma...
Antiseptique, anti-inflammatoire, calmant... Derrière son odeur et aspect particulier, le clou de girofle permet de soulager de nombreux maux naturellement.


Son odeur nous est familière car on la sent régulièrement chez le dentiste (qui l’utilise pour sa composition en eugénol, un anti-bactérien). Mais il possède de nombreux bienfaits pour la santé que l’on ne soupçonnait même pas

C’est un anti-inflammatoire et antiseptique puissant
Il est un très bon anesthésiant et permet de désinfecter les plaies par son pouvoir antiseptique ! De plus, il est efficace contre les spasmes digestifs et les problèmes de foie.

Il soulage les douleurs dentaires

Le clou de girofle est probablement le remède le plus utilisé contre les rages de dents. Il a aussi des propriétés soignantes pour les aphtes et autres herpès buccaux. Son effet anesthésiant permet de calmer la douleur rapidement… Pratique !
Comment l’utiliser ? Pour obtenir rapidement l’effet du clou de girofle, disposez le sur la dent douloureuse en serrant la mâchoire pour le fixer. Son effet anesthésiant agit immédiatement.
Autre méthode : mettez 2 à 3 gouttes d’huiles essentielles de giroflier sur un coton tige et appliquez le sur la zone concernée (sans avaler !)

Il agit contre les infections pulmonaires
Rhumatismes, problèmes pulmonaires… cette plante peut aussi soulager vos infections respiratoires en tout genre. Elle peut se consommer pure, en infusion ou en huile essentielle. 
Néanmoins, consultez votre médecin avant de commencer un traitement à base de clou de girofle si vous avez des infections chroniques ou sérieuses.

Il prévient les infections urinaires
Il ne s'agit pas de soin ici mais bien de prévention : si vous avez êtes fragile et avez tendances à avoir des infections urinaires, prendre de temps en temps du clou de girofle peut prévenir leur arrivée. Il est conseillé d’en prendre sous forme d’infusion : 
mélangez un demi-clou de girofle avec un c. à café de lavande et de camomille. Vous pouvez aussi en prendre sous forme d’huile essentielle (HE) : une goutte de girofle, une goutte d’HE de cyprès et une de lavande. Appliquez ce mélange en massage sur le ventre.

Et il est aphrodisiaque !
Au même titre que le gingembre ou le chocolat, il permet de stimuler la libido et facilite l’érection chez l’homme. Que demander de plus ? Adopter le clou de girofle pour soigner vos maux au quotidien!

Précaution d’utilisation
Pure, l’huile essentielle du clou de girofle (HE) est irritante, il convient donc de l’utiliser avec précaution en la diluant dans une huile végétale. Il est aussi contre-indiqué chez les femmes enceintes et les jeunes enfants.


dimanche 29 janvier 2017

La tension artérielle 

Correspond à la force avec laquelle le sang se déplace dans notre corps. Lorsque qu'elle est trop élevée, la santé de notre cœur peut être en danger, motif pour lequel il est nécessaire de réaliser certains changements dans notre alimentation et style de vie afin de garantir notre bien-être. 

Mais si la tension est très basse, notre santé court également un risque ; il nous faut donc chercher la façon de réguler son niveau de façon efficace. Dans les deux cas, il est important de savoir clairement.

Aliments qui augmentent la tension artérielle : le sel
Une alimentation trop riche en sel est l'un des principaux responsables de la tension artérielle élevée, raison pour laquelle si vous souffrez d'hypertension, vous devrez contrôler au maximum son ingestion en le remplaçant dans vos habitudes alimentaires. 

En revanche, si votre tension est basse, vous devez en consommer davantage, mais toujours de façon modérée.
Les aliments tels que les conserves au vinaigre ou les produits déshydratés contiennent également une quantité importante de sel, tenez-en compte.

Aliments qui augmentent la tension artérielle : la charcuterie

La charcuterie, en particulier la charcuterie grasse comme le chorizo, la saucisse ou le jambon, possède également une teneur élevée en sel, raison pour laquelle elle influence de façon importante le niveau de tension artérielle.
Si vous avez la tension haute, vous devez réduire leur consommation au maximum et opter pour des produits contenant toujours peu de sel, alors que si vous souffrez d'hypotension, vous pouvez consommer des alternatives plus légères comme la dinde ou le poulet, en contrôlant également la consommation de charcuterie car n’oublie pas qu'elle possède une quantité importante de sel.

Aliments qui augmentent la tension artérielle : boissons contenant de la caféine

Les boissons riches en caféine comme le café, le thé ou les sodas augmentent le rythme cardiaque, ce qui affecte la tension artérielle. Leur consommation doit être modérée pour les patients ayant des problèmes de tension élevée. Pour ceux qui souffrent de l'affection inverse, boire deux tasses de café par jour ou trois tasses de thé vert ou noir peut s'avérer bénéfique.

Aliments qui augmentent la tension artérielle : les viandes grasses

Les viandes avec un contenu élevé en graisse (plus de 10 %) favorisent également la hausse de la tension artérielle. Malgré cela, même si vous avez la tension basse, il n'est pas recommandé de consommer ce type d'aliments de façon excessive, sinon vous pourriez risquer de souffrir d'autres problèmes de santé comme le cholestérol et les triglycérides élevés.

Aliments qui augmentent la tension artérielle : le chocolat

De même que les boissons avec de la caféine, le chocolat accélère le rythme cardiaque en raison de son contenu de théobromine, motif pour lequel il doit être évité au maximum par les patients hypertendus et être ajouté à l'alimentation des hypotendus ; ceux-ci devant consommer de préférence le chocolat contenant au moins 70 % de cacao, car il possède une faible quantité de graisse et apporte de nombreux bienfaits au corps.

Aliments qui augmentent la tension artérielle : l'alcool

Un verre de vin par jour est bénéfique pour les patients dont la tension est basse ; en revanche, dans le cas des hypertendus, les boissons alcooliques doivent être réduites au maximum, car elles augmentent la pression du sang de façon significative.

Comment faire remonter la tension Artérielle
Se lever lentement. Avant de se lever du lit, s’étirer puis s’asseoir 1 minute sur le bord du lit. 

Éviter aussi de se lever rapidement d’une chaise ou d’un fauteuil. 
Boire de l’eau et d’autres boissons régulièrement. Par temps chaud, chez les personnes qui prennent des diurétiques et limitent leur apport en sel, l’apport d’eau et de sel peut prévenir l’hypotension.

Éviter la consommation d'alcool. Même consommée avec modération, elle peut contribuer à l’hypotension. 
Eviter de consommer du cannabis (marijuana). 
Bouger les orteils et contracter à quelques reprises les muscles du mollet lorsqu'on doit rester en position debout immobile durant un certain temps.
Éviter les environnements chauds.

La chaleur dilate les vaisseaux sanguins et accentue la sudation, ce qui peut entraîner une légère baisse de pression artérielle. 
Manger de la nourriture légèrement plus salée. 

Cela peut aider les personnes qui, habituellement, évitent la salière, mais il ne s'agit pas d’une recommandation générale. 
Le sel cause la rétention de l'eau.

Consulter un nutritionniste avant d'augmenter sa consommation de sel. 
Laisser les jambes décroisées. En position assise, le fait de se croiser les jambes crée une pression sur les veines et contraint le sang à rester dans le bas du corps. 

Si nécessaire, élever la tête du lit de 15 à 20 degrés et porter des bas de contention. 
Éviter les repas trop copieux : privilégier les repas plus petits et fréquents, pas trop riches en sucre. Boire un café ou un thé à la fin d’un repas atténue l’hypotension postprandiale.




samedi 28 janvier 2017

Voici la différence entre une crise cardiaque, un AVC et un arrêt cardiaque

Arrêt cardiaque
Bien que les symptômes et les effets puissent être similaires, accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques sont deux problèmes médicaux différents. Les deux sont des événements vasculaires, ce qui signifie qu’ils comportent les vaisseaux sanguins, les artères, en particulier. 
Les deux maladies peuvent aussi conduire à l’invalidité et la mort.
Les gens pensent souvent qu’une crise cardiaque est la même chose qu’un arrêt cardiaque et on a  tendance à confondre, voire à ignorer totalement la différence entre une crise cardiaque, un arrêt cardiaque et un (AVC) ?

Crise cardiaque

Le cœur est un muscle, et comme tous les muscles il exige un approvisionnement en sang riche en oxygène. Ceci est fourni au cœur par des artères coronaires. Une crise cardiaque se produit quand il y a une obstruction des artères coronaires. Ceci est souvent provoqué par un caillot sanguin. Une Telle obstruction, sinon rapidement résolu, peut faire commencer des pièces de muscle cardiaque à mourir.

Qu’est un arrêt cardiaque ?
Un arrêt cardiaque est différent à une crise cardiaque. Dans un arrêt cardiaque le cœur cesse réellement de battre ; considérant que dans une crise cardiaque le cœur continue normalement à battre quoique l’approvisionnement en sang au cœur soit perturbé. (4,

Comment se produit une crise cardiaque ?
Généralement, une crise cardiaque se produit lorsque l’approvisionnement en sang est bloqué par un resserrement des artères dû à un caillot de sang. Les dangers se produisent lorsque le flux sanguin n’est pas restauré, ou lorsque le manque d’oxygène impacte le muscle cardiaque.

Une crise cardiaque et un arrêt cardiaque sont deux problèmes de santé différents. En effet, l’arrêt cardiaque se produit lorsque le cœur rencontre des dysfonctionnements ou quand les fonctions cardiaques s’interrompent brusquement. Par conséquent, le cœur n’arrive plus à pomper le sang vers le cerveau, les poumons et autres organes.
                                  Une crise cardiaque résulte d’un problème d’approvisionnement en sang au niveau du cœur. Elle se produit lorsque le flux sanguin vers le cœur est bloqué, le plus souvent par une accumulation de graisse, de cholestérol et d’autres substances qui forment une plaque dans les artères alimentant le cœur (les artères coronaires). Interrompu, le flux sanguin peut endommager ou détruire une partie du muscle cardiaque.
La crise cardiaque, également appelée « infarctus du myocarde », peut être mortelle si vous ne réagissez pas à temps. Elle est un état d’urgence, et il est impératif de consulter votre médecin dès l’apparition des symptômes.

Les symptômes de la crise cardiaque :
• Pression, oppression et essoufflement
• Douleur intense au niveau de la poitrine ou des bras et qui peut toucher le cou, la mâchoire et le dos
• Nausées, évanouissements ou étourdissements soudains
• Indigestion, brûlures d’estomac ou douleurs abdominales
• Sueurs froides et fatigue

Les facteurs de risque :
La mauvaise alimentation, le stress, l’hypertension, l’âge, la cigarette, la mauvaise hygiène de vie, le diabète, l’obésité et les antécédents familiaux.
Les Symptômes d’un arrêt cardiaque comprennent :
Perte Subite de conscience/de réactivité
Aucune respiration
Aucun pouls (4, 9)
Le manque de pouls est provoqué par le coeur s’arrêtant réellement pendant un arrêt cardiaque. Par suite de ceci, les organes du fuselage sont privés du sang – ceci peut mener à la mort. (13)

Les signaux d’alarme suivants peuvent également se produire pendant la période avant un arrêt cardiaque :
Douleur thoracique
Manque du souffle
Faiblesse
Vertige
Palpitations
Nausée (4, 10, 12)

Comment se produit un accident vasculaire cérébral (AVC) ?


Un accident vasculaire cérébral (AVC) se manifeste lorsque la circulation sanguine vers le cerveau est défaillante ou interrompue, ce qui conduit à la mort des cellules nerveuses.
L’AVC se manifeste lorsque le flux sanguin vers le cerveau s’interrompt et il suffit de quelques minutes pour que les cellules nerveuses commencent à mourir. 
Selon la Direction Générale de la Santé (DGS), l’AVC est la troisième cause de décès en France.


Il existe deux types d’AVC, l’accident vasculaire cérébral ischémique, qui est le plus courant et causé par un caillot de sang qui bloque un vaisseau sanguin dans le cerveau, et l’accident vasculaire cérébral hémorragique qui est provoqué par un vaisseau sanguin interrompu et saignant dans le cerveau.

















Les symptômes de l’AVC :
• Engourdissement
• Faiblesse soudaine du visage, des bras ou des jambes, particulièrement au niveau d’un seul côté du corps
• Incapacité à comprendre et à parler
• Confusion et problème de vision soudains
• Difficulté à marcher
• Étourdissements, perte d’équilibre ou de coordination
• Maux de tête intenses et sans cause connue

Comment se produit un arrêt cardiaque ?
L’arrêt cardiaque est la perte subite et inattendue de la fonction cardiaque qui entraîne un arrêt de la respiration et de la conscience. Un arrêt cardiaque se produit à cause d’un trouble électrique dans le cœur. La fonction régulière de pompage est alors perturbée, empêchant le sang de circuler dans le reste de l’organisme. Ce problème de santé est connu sous le nom d’arythmie (battements cardiaques irréguliers) et peut provoquer un arrêt global de l’action de pompage du cœur.
L’arrêt cardiaque diffère de la crise cardiaque qui survient lorsque le flux sanguin vers le cœur est encombré. Cependant, une crise cardiaque peut parfois causer une perturbation électrique qui conduit à un arrêt cardiaque soudain.
Il est important de savoir qu’un arrêt cardiaque soudain est une urgence médicale. Si ce problème de santé n’est pas traité immédiatement, il peut conduire à la mort subite, car le cœur devient incapable de pomper le sang et l’apport en oxygène aux différentes parties du corps, notamment au cerveau, est bloqué.

Symptômes de l’arrêt cardiaque :

• Étourdissements
• Perte de conscience
• Difficulté à respirer

Réduire les risques
Pour réduire votre risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral, il est important de contrôler vos facteurs de risque. Cela signifie faire des choix de vie sains:
Arrêter de fumer si vous fumez.
Ayez une alimentation saine.
Faites beaucoup d’exercice.
Contrôler l’hypertension artérielle, le diabète, et le taux de cholestérol avec des médicaments, si nécessaire.

Les facteurs:

L’âge, la cigarette, l’alcool ou les drogues, les antécédents familiaux, les antécédents d’arythmie et la maladie coronarienne, une vie sédentaire.