lundi 31 octobre 2016


Plus de rétention d’eau, plus de veines dilatées ! Grâce au marronnier d’Inde, les vaisseaux se resserrent, la circulation sanguine s’améliore. Et les jambes sont légères, légères…

Tous les bienfaits du marronnier d'Inde


Le marronnier d’Inde soulage les jambes, réduit l’inflammation, Il est bon pour la cellulite.

le marronnier d’Inde  est aujourd’hui employé pour traiter l’insuffisance veineuse. Quand nos veines sont perméables et dilatées, de l’eau, du sel et des protéines s’en échappent, stagnent dans les tissus, entraînant ainsi la formation d’un œdème.

Grâce à son principe actif (aescine) et à ses flavonoïdes, le marron d’Inde empêche ces fuites en resserrant la paroi des vaisseaux (vasoconstriction).

"Mieux canalisé, le sang circule mieux et retourne au cœur plus facilement". Ce traitement est souvent recommandé en complément des bas de contention et des bains d’eau froide, ainsi que dans la prévention des varices.

Le marronnier d’Inde réduit l’inflammation

"En cas d’irritation, une substance contenue dans certains globules blancs, l’histamine, peut entraîner une stagnation d’eau". Un bon recours en cas de douleurs musculaires et de rhumatismes.

Il apaise les hémorroïdes

Elles concernent les veines de l’anus et les vaisseaux de la paroi du rectum avec lesquels elles communiquent. Sous l’effet de la pression sanguine, leur paroi a en effet tendance à se ­dilater et à provoquer une réaction inflammatoire.

Il atténue certaines douleurs

En décongestionnant les vaisseaux et en redonnant de la fermeté et de l’élasticité aux tissus, le marronnier d’Inde (marrons ou bourgeons) diminue l’inconfort dans certaines situations : douleurs des règles, varices des veines du cordon spermatique, situées dans les bourses…

Quelles sont les précautions d’emploi ?

Il est déconseillé aux femmes enceintes et allaitantes, aux enfants.

À éviter en cas d’insuffisance rénale ou hépatique et de diabète insulinodépendant.
Ne pas l’associer aux traitements anticoagulants, au lithium et aux antidiabétiques : il existe un risque d’interactions médicamenteuses.


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